Coimbra et Nazaré

Je suis arrivé là un peu par hasard, déçu par la côte nord portugaise (oui, je sais, on m’avait prévenu 🙄) même si Porto m’avait un peu rasséréné. Besoin de vert, besoin de campagne, mais jamais très loin de l’eau.

Je me suis donc réfugié au bord du Mondego dans les petites montagnes du côté de Coimbra. Même si l’accès était plutôt difficile de nuit (de jour aussi), la récompense était au réveil.

Pas motivé pour lever le camp mais curieux de voir cette ville de Coimbra, j’ai quand même réussi à sortir des montagnes sur les coups de midi.

Coimbra, ma Rennes à moi.

Quelle belle surprise ce fut ! Entre mer et montagne, l’équilibre. Une ville dynamique et pleine de caractère à moins d’une heure de la mer et au pied des montagnes.

Un jardin botanique a faire pâlir le Thabor (mon jardin à Rennes 😉).

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Et la fac de droit, que dire ? Elle a du chien quand même. Rien que pour les lieux j’aurais fait du droit moi aussi.

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Les fonctionnaires ne sont pas en reste ceci dit. Les bâtiments administratifs ont de l’attrait. Enfin moi je trouve.

Et des petites places sympathiques pour finir.

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Après une bonne pause en terrasse au soleil j’ai quand même décidé de reprendre la route en direction de la côte. (Encore de l’eau). Direction Nazaré.

J’ai tellement regardé de vidéos de ses vagues mythiques surfées par des surfeurs de l’extrême que j’étais obligé d’aller voir sur place à quoi ça ressemblait.

Pas de bol. Conditions anormalement calmes pour la saison : flat, flat, flat. Alors qu’il y avait une compétition la semaine précédente. Dommage. Quoique !

Un accueil de rêve 😍

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Oui, j’avoue. Pas mal la vue pour la fin de soirée. Pal mal non plus au réveil (j’avais pris soin de ne pas fermer les rideaux pour un réveil en douceur 😋).

J’ai vraiment apprécié la balade sur la plage le matin avec Naya avant le petit déjeuner, et tout autant de jouer de la guitare dans les dunes. Top.

Mais cela ne suffisait pas, j’ai remis ça à Peniche le soir même 😁.