Après ma balade vertigineuse sur le gros caillou, je mets le cap 43 km plus au sud et je me retrouve à Sperlonga le 18 janvier. Je passe sur les allers-retours qu’il m’a fallu pour trouver un spot convenable. Mais avec un peu de culot et en bravant les interdits j’ai trouvé quelque chose de pas si mal.
Cette station balnéaire a du cachet et la plage est propre. Ce sera parfait pour poser le camp deux ou trois jours j’en ai un petit peu marre d’avaler des kilomètres.
Petit coucher de soleil de bienvenue tout de même.
Pendant 2 jours c’est glandouille. Petite balade sur la plage. Un petit tour à Sperlonga. Et puis… Bah pas grand chose. Glandouille.

Il y avait certainement des balades à faire mais manque de motivation. Les petites montagnes en arrière plan étaient belles aussi d’en bas.
Avec la perturbation qui s’annonce, pas trop d’intérêt de rester ici. Hop on remballe tout. La trêve kilométriques aura durée 3 jours. Doucement je me rapproche de Naples.
J’aurais pu m’arrêter à Gaète juste à côté, elle vaut le coup d’œil il paraît. Mais non. Il paraît que le nom pizza est apparu ici, que sa spécialité c’est la tielle (dont Sète s’est emparée après) et que ceux qui viennent de Gaète sont nommés Gaétan.
J’aurais peut-être mieux fait de m’arrêter parce qu’après c’est la misère !
Du coup sans m’en rendre compte je quitte le Latium et je me retrouve en Campanie. Vite plié la fin du Latium !
À chaque fois que je cherchais à m’arrêter je tombais sur des choses comme ça :

Ça fait rêver ! Et le parking des fois c’est pire.
Voilà comment mon petit saut de puce c’est transformet en expédition de plus de 100 km.
Et voilà comment je me retrouve plus tôt que prévu à Naples…