J’ai fait mon entrée dans le Portugal par la côte le 4 novembre avec un arrêt à Viano do Castelo. Bon ça ne casse pas des pavés.
Quand on te dit que la côte nord du Portugal elle ne vaut pas le détour, eh bien tu écoutes, hein ! Et tu prends par les montagnes, c’est super beau là-bas. Bon bah, raté…
Pas convaincu par cette première ville côtière, je décide de prendre tranquille la nationale. Tranquille c’est clair. Je n’ai pas dépassé le 50 km/h (une nationale ?!). Et rien ne m’a donné envie de m’arrêter.
Mais pourquoi je n’ai pas pris par les montagnes ? 😤
Du coup j’arrive de nuit sur Porto. Eh oui, déjà Porto. Bon rien de grave en soi. Je ne suis obligé de rien.
Alors les pavés. Les pavés je suis obligé d’en parler. On en a quelques uns à Rennes, mais là 😱. Je me suis même demandé si ce n’était pas un acte militant contre les dérivés du pétrole. Il y en a partout. Je ne pensais même pas qu’il y avait autant de pavés sur terre. Si un jour je veux poser des pavés dans ma maison (on peut rêver quand même), je veux un artisan portugais, ils maîtrisent le sujet.
Petite visite de Porto tout de même. Une vraie fourmilière cette ville. Pour l’apprécier réellement il faut loger dans le centre, aller au resto, goûter la vie du soir (voire nocturne). Jolie quand même, je ne dis pas le contraire. Mais quand on sait que ici 2 vans sur 3 se font péter une vitre même en plein jour, je n’ai pas très envie de m’éterniser.
Levé tôt car j’ai dormi en ville, à 14h30 j’ai fini mon tour. Hop on sort de là. Cap sur Aveiro, la Venise du Portugal. Ça commence à bien sentir le soleil. Petite ville agréable et tranquille. Dépaysant.
Il est temps de trouver un spot. Je file dans les terres.
