La route de Delphes

Grèce centrale

[13/03/2022]

À 15h30 on quitte Athènes pour Delphes. Mais on part un peu tard pour avaler les 162 km d’une traite. Pas grave on fera une halte en bord de mer dans le golfe de Corinthe. Au final en temps on ne gagne pas grand chose mais on ne fait que 100 bornes et on dort au bord de l’eau 😊.

Cependant pour entrer en Grèce centrale il faut passer les montagnes et là on retrouve la neige en quantité.

40 minutes plus tard on est largement récompensé en arrivant enfin sur le golfe de Corinthe.

Le spot n’est pas des accès les plus faciles mais il vaut vraiment le coup. On arrive tout juste pour le coucher de soleil. 5 minutes plus tard c’était trop tard. Synchronicité !

Pierrot joue les équilibristes pour retourner au camion. Mais ça va il gère.

Première nuit loin de tout, on a dormi comme des bébés.

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Petit réveil dans la fraîcheur mais sous le soleil. C’est paisible à souhait.

On serait bien resté (s’il ne faisait pas si froid). Mais Delphes nous appelle !

On reprend la route pour un peu moins de 100 km. Pas de bonne heure, il y a l’inertie de groupe. Déjà que tout seul il me faut 2 heures pour décoller 😅.

On quitte la mer et le soleil pour retrouver rapidement … La neige ! Et pas qu’un peu…

Pour se réchauffer, on s’arrête dans le village le plus animé de la Grèce centrale pour prendre un bon café grec (beurk !). Un vrai petit coin de paradis : Kiriaki. On a même hésité à y passer quelques jours. Mais non, Delphes nous appelle.

Sur notre route le Monastère d’Hosios Loukas nous tend les bras pour une petite visite. On se laisse tenter. Et en plus c’est raccord avec la pause déjeuner qui peut trainer jusqu’à 15h en Grèce. On est large.

Pierrot mitraille tous les vitraux. Pas très classe dans un monastère…

Après la visite du dedans. On fait la visite du dehors. Et on comprend pourquoi ils ont érigé le monastère ici. Question espace et tranquille, on ne fait pas mieux.

On casse la croûte et on reprend la route. Delphes nous appelle.

Tout le monde est attentif sur la route.

On arrive trop tard pour la visite de Delphes. Il faut dire que ça ferme à 15h30. Super tôt !

On trouve un spot sympa en contrebas de Delphes en outrepassant une barrière fermée mais pas cadenassée (c’est pas moi, c’est Pierre).

Barbecue pour fêter ça et on se réchauffe dans le camion. J’en connais un qui se régale. Un bon repas de sports d’hiver !

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Réveil sous le soleil avec une température presque printanière. Allez hop, on fait péter la table. Petit déjeuner en terrasse, s’il vous plaît.

Avec une vue acceptable.

On replie tout et on part sans refermer la barrière. Delphes nous appelle. Et ça ferme à 15h30 !

Delphes

Là on fait la totale. Visite du musée et du site. Quand même, avec tout le mal qu’on s’est donné pour arriver jusque là.

C’est vrai qu’il en jette ce site perché sur sa montagne. Et sous le soleil c’est encore plus beau. Ça devait être quelque chose quand tout était encore debout.

Faute de temps, je me suis emmené ça à traduire plus tard.

Vers 14h30 on met les voiles vers une autre destination plus au Nord de la Grèce centrale.

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